La pyramide de Gizeh est une centrale électrique

Pour ceux qui connaissent ce blog et qui ont lu mes articles sur les pyramides d’Egypte, vous savez que je n’arrive pas à être convaincue par les théories grossières que veulent bien nous raconter les Egyptologues et nos livres d’histoire pour enfants.

Je ne comprends toujours pas pourquoi un bâtiment de139 mètres de haut, construit avec près de 2 millions de blocs de calcaire et des dalles de granit allant jusqu’à 60 tonnes taillées en une pièce et assemblées au micron près (0.0001 cm) dans la chambre du roi elle-même perchée à 80 mètres de hauteur aurait pu servir de tombe pour un pharaon qu’on a jamais retrouvé. Mais à défier la théorie admise que la grande pyramide d’Egypte était la tombe du pharaon Kheops, on est vite qualifié d’hérétique. Je n’en dis pas plus sur ma défiance de la théorie « mainstream » et vous laisse parcourir mon blog pour lire mes autres articles sur le sujet.

Ici, c’est le travail exemplaire d’un ingénieur britannique, Chris Dunn, que je vous livre. Il part du principe que le niveau de précision époustouflant de la grande pyramide, dont témoigne d’ailleurs sa longévité inégalée dans l’histoire des hommes, ne tolère pas les approximations. Au contraire, les pierres nous parlent et témoignent d’un niveau d’avancement de cette civilisation ancienne qui surpasse tout ce que nous avons imaginé jusqu’alors. Vous le verrez, Chris Dunn va loin. Très loin. Mais l’intégralité de ses propos se base sur des observations, des faits et des analyses scientifiques rigoureusement établies et étayées.

Je vous en livre ici un aperçu synthétique. Pour cela, j’ai traduit la conclusion de son fabuleux ouvrage « The Giza Power Plant ». Et, en prime, je vous mets en fin d’article un graphique essentiel de l’ouvrage qui offre en un clin d’oeil une vision globale de la théorie scientifique de Chris Dunn.

PS : pour ceux qui sont intéressés à obtenir une traduction intégrale de cet ouvrage toujours pas disponible en français, contactez-moi !

Très bonne lecture à tous.

« J’ai analysé énormément d’observations sur la base desquelles j’ai pu démontrer, en m’appuyant sur un examen sérieux de la conception de la grande pyramide de Gizeh et de quasiment tout ce qui se trouve à l’intérieur, que ces éléments pris ensemble convergent vers ma thèse : la grande pyramide était une centrale électrique et la chambre du roi son réacteur. Aidée du même élément qui alimente notre soleil (l’hydrogène) et faisant résoner l’énergie de l’univers avec celle de la Terre, les anciens Egyptiens convertissaient cette énergie vibratoire en micro-ondes. Pour que la centrale électrique fonctionne, les concepteurs et mécaniciens devaient diriger ces vibrations vers la grande pyramide pour que celle-ci soit en phase avec les vibrations de résonance harmonique de la Terre. Une fois que la pyramide vibre en harmonie avec le rythme de la Terre, le système devient un oscillateur couplé et peut soutenir le transfert d'énergie depuis la Terre sans presque aucun retentissement. Les trois plus petites pyramides situées sur le côté Est de la grande pyramide ont peut-être été utilisées pour l’aider à atteindre la résonance, un peu comme aujourd'hui nous utilisons des moteurs à essence plus petits pour démarrer de gros moteurs diesel.

La chambre de la reine, située au centre de la pyramide et juste en-dessous de la chambre du roi, présente des particularités radicalement différentes de celles observées dans la chambre du roi. En effet, ses caractéristiques indiquent qu’elle était destinée à produire du combustible, ce qui est d’importance capitale dans toute centrale électrique. Bien qu’il soit difficile de déterminer les processus exacts qui s’y déroulaient, on observe que des réactions chimiques s’y produisaient. La substance résiduelle laissée par le processus (les sels sur la paroi de la chambre), les observations liées aux artefacts (grappin et bois semblable à du cèdre) et certains détails structurels (la "porte" de Ganterink par exemple) sont trop importants pour être ignorés. Tout ceci indique que l'énergie créée dans la chambre du roi était le résultat du fonctionnement efficace de la chambre de la reine productrice d'hydrogène. L’outillage permettant de faire naître ces premières impulsions se situait très probablement dans la fosse souterraine. Juste avant ou au moment même où on « mettait les clés dans le contact » pour amorcer les premières impulsions, une réserve de produits chimiques était pompée dans les puits nord et sud de la chambre de la reine, la remplissant jusqu'à ce qu'un contact soit établi entre le grappin et les électrodes qui étaient stockées devant la "porte". S'infiltrant dans la chambre de la reine, ces produits chimiques se sont combinés pour produire de l'hydrogène gazeux qui remplissait les passages intérieurs et les chambres de la pyramide. Les déchets des produits chimiques usés s'écoulaient le long du passage horizontal et le long du puits.

Les premières impulsions de vibration en résonance avec la fréquence de toute la structure ont augmenté en amplitude pour osciller en résonance harmonique avec les vibrations de la Terre. L’énergie vibratoire de la Terre transmise à la pyramide était abondante et pouvait interagir avec les résonateurs de type Helmholtz situés dans la grande galerie, où la vibration pouvait être convertie en énergie acoustique. Profitant de l’architecture de la grande galerie conçue pour amplifier l’énergie acoustique, le son finissait condensé dans le passage menant à la chambre du roi. Seules les fréquences sonores en harmonie avec la résonance de la chambre du roi pouvaient passer à travers un filtre acoustique positionné à cet effet dans l'antichambre.

La chambre du roi était le cœur de la centrale électrique de Gizeh, un impressionnant centre énergétique composé de milliers de tonnes de granit contenant 55 % de cristal de silicium-quartz. Elle a été conçue pour amortir les vibrations et ses dimensions créent une cavité en résonance avec le flux entrant d'énergie acoustique. Lorsque le granit vibre en rénonance avec le son ainsi créé, il stimule la circulation des électrons du quartz dans la roche par ce que l'on appelle l'effet pyzoélectrique. A ce moment-là, la chambre du roi contient un mélange d'énergies acoustique et électromagnétique. Ces deux formes d'énergie couvrent un large spectre de fréquences harmoniques, depuis des fréquences infrasonores terrestres primaires jusqu’aux fréquences ultrasonores et électromagnétiques plus élevées des micro-ondes. L'hydrogène absorbe librement cette énergie, car les concepteurs de la centrale de Gizeh s'étaient assurés que les fréquences de résonance de la chambre du roi soient des harmoniques de la fréquence de résonance de l'hydrogène. En conséquence, l'atome d'hydrogène, composé d'un proton et d'un électron, a efficacement absorbé cette énergie et son électron a été "pompé" vers un état d'énergie plus élevé.

Le puits nord servait de conduit, ou conducteur d'ondes, et son revêtement métallique d'origine - qui passait avec une extrême précision à travers la pyramide depuis l'extérieur - servait à conduire un signal micro-ondes dans la chambre du roi. Ce signal qui a traversé le conduit peut avoir été identique à celui que nous savons être créé par l'hydrogène atomique qui remplit l'univers et qui bombarde constamment la Terre. Ce signal a probablement été réfléchi par la face extérieure de la pyramide, puis s’est concentré dans le puits nord. En traversant la chambre du roi et en passant par une boîte de cristal amplificatrice situé sur son chemin, le signal d'entrée augmente en puissance lorsqu'il a interagi avec les atomes hautement excités à l'intérieur de l'amplificateur et de la chambre à boîte de résonance. Cette interaction a forcé les électrons à revenir à leur "état fondamental" naturel. À leur tour, les atomes d'hydrogène ont libéré un paquet d'énergie du même type et de la même fréquence que le signal d'entrée. "L'émission stimulée" a été entraînée avec le signal d'entrée et a suivi le même chemin.

Ce processus s'est construit de façon exponentielle – et s’est produit des milliards de fois. Ce qui est entré dans la chambre comme un signal de faible énergie est devenu un faisceau collimaté (ou faisceaux parallèles) d'une immense puissance car il a été collecté dans un récepteur à micro-ondes logé dans le mur au sud de la chambre du roi et a ensuite été dirigé vers l’extérieur de la pyramide à travers le puits sud revêtu de métal. Ce faisceau étroitement collimaté était l’objectif attendu. Il a été créé grâce à toute cette science, cette technologie, ce savoir-faire et des heures de travail incalculables consacrées à la conception, aux tests et à la construction de la centrale électrique de Gizeh. Les anciens Égyptiens avaient besoin de cette énergie. Elle a probablement été utilisée pour les mêmes raisons que nous l'utiliserions aujourd'hui - pour alimenter des machines et des appareils. Nous savons, en examinant les artefacts de pierre égyptiens, que les anciens artisans devaient les avoir créés à l'aide de machines et d'outils qui avaient besoin d'électricité pour fonctionner. Cependant, les moyens par lesquels ils ont obtenu et distribué l'énergie produite par la centrale électrique de Gizeh peuvent avoir été très différents de tous ceux que nous utilisons aujourd'hui. »