Le mystère du Château de corail
- Maîtriser Ses Pensées
- 31 déc. 2023
- 4 min de lecture

Ceux qui lisent ce blog savent que je rapport souvent les travaux de Chris Dunn, cet ingénieur civil américain qui a passé des décennies a étudier la Grande pyramide de Khéops. Il en est arrivé à la conclusion que ce bâtiment de l'extrême n'est pas ce que les archéologues veulent nous faire croire - un tombeau pour le Pharaon Khéops - mais plutôt une machine capable de produire de l'énergie électrique.
Dans son ouvrage "The Giza Power Plant" (traduire "La centrale électrique de Gizeh"), Chris Dunn consacre un long chapitre sur le mystère "Château de corail" qui est l'ancienne résidence d'Edward Leedskalnin sur laquelle de fabuleux blocs de pierres ont été apposés, à la manière des Egyptiens de l'Antiquité.
Edward Leedskalnin, un Letton excentrique, était un architecte et sculpteur qui a émigré aux États-Unis et qui est mort en 1951, qui a laissé de nombreux indices fascinants nous laissant à penser qu’il avait compris les secrets des bâtisseurs de l'Antiquité, c’est-à-dire les méthodes utilisées pour soulever et transporter des blocs de pierre de plusieurs dizaines de tonnes.

Sa conception de la nature était simple : toute matière est constituée d’aimants individuels, et c’est le mouvement de ces aimants dans la matière qui produit des phénomènes mesurables - c’est-à-dire le magnétisme et l’électricité.
Que Leedskalnin ait eu raison ou tort dans ses affirmations, il a été capable de concevoir un moyen d’élever et de manœuvrer à lui seul des pierres gigantesques, ce qui serait impossible en utilisant des méthodes conventionnelles.
Dans le cas de Leedskalnin, nous ne pouvons pas le suspecter d'avoir réalisé ce travail en employant des centaines ou des milliers d'ouvriers, car il est bien documenté qu’il a travaillé seul.
Leedskalnin prétendait « savoir » comment la Grande Pyramide avait été construite, et pour le prouver, il a déplacé une trentaine de tonnes de blocs de corail monolithiques pour construire son château.

L’équipement et les techniques utilisés par Leedskalnin vont au-delà de ce que nous savons de l’état de l’art de la construction, même moderne. Pouvons-nous retrouver les connaissances qu’il a emportées avec lui dans sa tombe ?
Ce qui suit, ce sont les analyses de Chris Dunn sur les techniques que Lededskalnin a pu utiliser.
« Qu’est-ce que l’antigravité ? » On peut tenter de définir l'antigravité comme « un moyen par lequel les objets peuvent être soulevés, en surmontant la constante gravitationnelle de la Terre. »
Nous utilisons tous des techniques antigravitationnelles dans notre vie quotidienne. Un avion, une fusée, un chariot élévateur et un ascenseur sont des technologies conçues pour surmonter les effets de la gravité.
Je me suis rendu compte que j’avais travaillé en partant du principe que pour créer un dispositif antigravitationnel, la gravité devait être un phénomène connu et parfaitement compris. Or, n’importe quel physicien vous le dira, la nature de la gravité nous échappe toujours, tout comme la capacité de produire des ondes gravitationnelles d’interférence.
Si, comme le prétendait Leedskalnin, toute la matière est constituée d’aimants individuels, les propriétés connues d’un aimant ne seraient-elles pas suffisantes ? Nous savons que les pôles semblables se repoussent et que les pôles différents s’attirent. Nous savons également que nous pouvons suspendre un aimant au-dessus d’un autre tant que nous ne permettons pas à l’un d’eux de se retourner de sorte que les pôles opposés s’attirent. Les aimants cherchent à attirer et, laissés à eux-mêmes, aligneront leurs pôles opposés les uns par rapport aux autres.
Si nous supposons, comme l’a fait Leedskalnin, que tous les objets sont constitués d’aimants individuels, nous pouvons également supposer qu’une attraction existe entre ces objets en raison de la nature inhérente d’un aimant cherchant à aligner son pôle opposé à un autre. Peut-être que les moyens de Leedskalnin pour travailler avec l’attraction gravitationnelle de la Terre n’étaient rien de plus compliqué que la conception d’un moyen par lequel l’alignement des éléments magnétiques à l’intérieur de ses blocs de corail était ajusté pour faire face aux flux d’aimants individuels qu’il prétendait être les plus importants.
Une méthode bien connue pour créer du magnétisme dans une barre de fer consiste à aligner la barre avec le champ magnétique terrestre et à frapper la barre avec un marteau. Ce souffle fait vibrer les atomes de la barre et leur permet d’être influencés par le champ magnétique terrestre. Le résultat est que lorsque la vibration s’arrête, un nombre important d’atomes se sont alignés dans le champ magnétique. Était-ce la méthode utilisée par Leedskalnine ?
C’est un concept simple, et quand j’ai observé les appareils dans l’atelier de Leedskalnin, j’ai pu facilement imaginer l’application de la vibration et de l’électromagnétisme.
J’avais besoin de connaître, d’une manière concluante, la disposition des pôles de la roue, pour voir, en effet, si l’ensemble était capable de créer de l’électricité.
Je retournai au Château de Corail. Une fois sur place, je suis retourné dans l’atelier de Leedskalnin et j’ai mis l’aimant à l’épreuve. Je l’ai soigné à une courte distance des rayons du volant d’inertie tout en lui donnant un tour. Effectivement, j’ai découvert ce que j’étais venu chercher. L’aimant poussait et tirait dans ma prise pendant que la roue tournait.
Je n’ai aucun doute que Leedskalnin a dit la vérité quand il a dit qu’il connaissait les secrets des anciens Égyptiens. Contrairement à ceux qui ont cherché à faire de la publicité pour leurs propres théories inadéquates, bien que politiquement correctes, il a prouvé sa théorie par ses actions. Je crois aussi que nous pouvons découvrir ses techniques et les mettre au service de l’humanité.
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